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Et oui, les méchants reviennent toujours à la vie : Halloween Kills comme son anti-héros déjanté depuis 30 ans… et du neuvième coup de canif, c’est encore râpé. (raté pardon). L’œuvre réalisée par David Gordon Green (Délire Express) est parue dans les salles le 20 octobre 2021. En ces temps masqués, voici la brève critique de Michael Myers la Mascarade.

Halloween Kills  Massacre à l’ouvre-boîte

hallooween killsAlors que la suite de ce navet (autrement dit Halloween Ends) vient d’être annoncé pour cette année, le réalisateur de Fatman et de Délire Express nous présente ici une version de Michael Myers en papier mâché à la hauteur des urinoirs pour messieurs. Peut-être que les tendances sont au goût du patchwork horrifique ? D’un autre point de vue si nous étions romantique, l’on pourrait dire que Myers est le mal rapiécé au mal. Mais on va se faire un « fat délire express ».

Pourtant Les portes des toilettes pour hommes affichaient occupés au Box-office. En 1978, la réalisation de Carpenter avait rapporté 70 millions de dollars contre seulement 391 897 entrées en France pour ce dernier opus (On note juste la présence de John Carpenter pour la bande sonore.) Mais l’époque le budget du film n’excédait pas 300 000 $. Halloween premier du nom n’est autre que le film d’horreur le plus rentable de tous les temps jusqu’au Projet Blair Witch de 1999. 

De retour pour vous jouer un mauvais tour

killsOn est loin très loin du premier opus. Où est passé le suspense ? Dans e film rétrospectif des événements liés au premier, le vieillard fou fait son grand retour.  Désormais après avoir eu le feu aux fesses, le grand méchant loup se met carrément à découvert pour … découper ses victimes à coup de coupe papier ou au pied de biche. Et même lorsque la communauté s’organise pour lui régler son compte, le vieillard se relève. On nage en plein dans le paranormal.

Et c’est ce côté complètement illogique que Halloween Kills peut se classer dans la catégorie nanardesque. Allez savoir Micheal Myers est peut-être un highlander !

Conclusion sur Hallowen Kills : Coupez !

 En ne respectant pas l’esprit du titre de 1978, David Gordon Green n’était clairement pas le réalisateur idéal pour ce projet. Voulant proposer une version composée de flashbacks à travers les yeux d’un policier, on se demande bien ce que fait Jamie Lee Curtis dans l’opus. C’est un échec cuisant, à fuir avant-tout.

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